Quelques notes sur la conférence de Steve Masson "Comment la connaissance du cerveau aide à mieux enseigner ?" visible sur cette page.
L'IRM fonctionnel permet de connaître l'activité de notre cerveau. Par exemple lorsqu'on lit un mot, lorsqu'on fait un calcul ou lorsqu'on résout un problème, certaines zones du cerveau sont plus actives que d'autres.
Les chercheurs peuvent aussi comparer le cerveau avant et après un apprentissage, ou comparer deux groupes d'élèves en fonction de leur enseignement. On peut ainsi connaître l'impact de ces pratiques d'enseignement sur le cerveau et sur l'apprentissage.
Cependant le cerveau de part son fonctionnement, crée des contraintes dont il faut tenir compte pour améliorer l'enseignement.
Quatre découvertes sont mises en avant car elles peuvent avoir une influence notable sur l'apprentissage.
Un autre exemple est celui de la domination hémisphérique : différence entre cerveau droit (créativité, musique, art plastique) et cerveau gauche (logique, mathématiques). Adapter l'enseignement en tenant compte de cette différence aurait-il un impact sur l'apprentissage ? Non... une étude réalisée en 2013 montre qu'il n'y a pas de différence entre l'hémisphère droit ou gauche.
Un autre exemple : la forme physique optimise les fonctions cérébrales. Certains enseignants ont alors fait réaliser à leurs élèves des exercices physiques de coordination avant un enseignement. Mais cela n'a aucun impact sur l'apprentissage.
Il faut donc éviter de se baser sur des neuro-mythes.
Donc on peut penser qu'activer les mêmes neurones à plusieurs reprises devrait faciliter l'apprentissage. Chaque utilisation renforce les connections et une absence d'utilisation appauvrit les liaisons. Le cerveau doit donc être actif dans l'apprentissage. Il faut consolider les réseaux de neurones en les réactivant régulièrement. En réutilisant les connaissances (en y faisant appel), on réactive les réseaux.
Ainsi il vaut mieux cacher ses notes de cours et se demander ce qu'on a fait dans ce cours que de lire simplement le cours.
On peut aussi revenir régulièrement sur les contenus déjà appris, afin de consolider les réseaux.
Il faut aussi éviter de regrouper les périodes d'enseignement allouées à un sujet donné, donner des devoir sur les contenus abordés et montrer aux élèves comment étudier en espaçant les périodes études : rien ne sert de relire tout le cours avant l'évaluation, mais il vaut mieux le travailler régulièrement.
De même, la perception des objets dépend des espaces qui existent en être eux. ainsi pour notre cerveau si les objets sont rapprochés ou éloignés dans un même espace, ceux qui sont proches seront plus nombreux.
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Il semble y avoir plus d'objets sur la première ligne que sur la seconde. cela posera des problèmes dans le comptage des objets.
L'IRM fonctionnel permet de connaître l'activité de notre cerveau. Par exemple lorsqu'on lit un mot, lorsqu'on fait un calcul ou lorsqu'on résout un problème, certaines zones du cerveau sont plus actives que d'autres.
Les chercheurs peuvent aussi comparer le cerveau avant et après un apprentissage, ou comparer deux groupes d'élèves en fonction de leur enseignement. On peut ainsi connaître l'impact de ces pratiques d'enseignement sur le cerveau et sur l'apprentissage.
Cependant le cerveau de part son fonctionnement, crée des contraintes dont il faut tenir compte pour améliorer l'enseignement.
Quatre découvertes sont mises en avant car elles peuvent avoir une influence notable sur l'apprentissage.
- Nos intuitions sur le fonctionnement du cerveau sont erronées et donnent naissances à des "neuro-mythes". L'apparition de ces neuro-mythes est du à des tentatives de vulgarisation du fonctionnement cérébral dans les magasines et revues scientifiques. Ce sont donc ceux qui s'intéressent le plus au cerveau qui ont ces fausses idées sur le cerveau, car ils ne sont pas capables de faire la différence entre neuro-mythe et vérité.
Un autre exemple est celui de la domination hémisphérique : différence entre cerveau droit (créativité, musique, art plastique) et cerveau gauche (logique, mathématiques). Adapter l'enseignement en tenant compte de cette différence aurait-il un impact sur l'apprentissage ? Non... une étude réalisée en 2013 montre qu'il n'y a pas de différence entre l'hémisphère droit ou gauche.
Un autre exemple : la forme physique optimise les fonctions cérébrales. Certains enseignants ont alors fait réaliser à leurs élèves des exercices physiques de coordination avant un enseignement. Mais cela n'a aucun impact sur l'apprentissage.
Il faut donc éviter de se baser sur des neuro-mythes.
- Losrqu'on apprend la structure du cerveau change. Certaines régions changent garce aux mécanismes de neuro-plasticité.
Donc on peut penser qu'activer les mêmes neurones à plusieurs reprises devrait faciliter l'apprentissage. Chaque utilisation renforce les connections et une absence d'utilisation appauvrit les liaisons. Le cerveau doit donc être actif dans l'apprentissage. Il faut consolider les réseaux de neurones en les réactivant régulièrement. En réutilisant les connaissances (en y faisant appel), on réactive les réseaux.
Ainsi il vaut mieux cacher ses notes de cours et se demander ce qu'on a fait dans ce cours que de lire simplement le cours.
- Le rôle du sommeil : pendant que l'on dort, on réactive les réseaux utilisés dans la journée : cela permet de stabiliser les connections entre les neurones.
On peut aussi revenir régulièrement sur les contenus déjà appris, afin de consolider les réseaux.
Il faut aussi éviter de regrouper les périodes d'enseignement allouées à un sujet donné, donner des devoir sur les contenus abordés et montrer aux élèves comment étudier en espaçant les périodes études : rien ne sert de relire tout le cours avant l'évaluation, mais il vaut mieux le travailler régulièrement.
- La strutcure initiale du cerveau impose des contraintes : le développement de certains réseaux pendant l'enfance impose des contraintes à l'apprentissage.
De même, la perception des objets dépend des espaces qui existent en être eux. ainsi pour notre cerveau si les objets sont rapprochés ou éloignés dans un même espace, ceux qui sont proches seront plus nombreux.
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Il semble y avoir plus d'objets sur la première ligne que sur la seconde. cela posera des problèmes dans le comptage des objets.